La défiscalisation immobilière
Investir dans la pierre et réaliser des économies d’impôts dans le même temps, c’est tout l’intérêt des mécanismes de défiscalisation.
L’optimisation fiscale consiste à utiliser les différents avantages fiscaux proposés par l’Etat dans le cadre d’investissements financiers ou immobiliers. Mais l’objectif de la défiscalisation immobilière n’est pas uniquement de payer moins d’impôts. L’objectif est aussi d’utiliser la réduction d’impôt comme effet de levier pour développer son patrimoine.
Mais la défiscalisation immobilière est un secteur complexe et les pièges sont nombreux. S’il est essentiel de maîtriser les techniques fiscales, il est indispensable de s’appuyer sur une connaissance approfondie du marché de l’immobilier puisque le succès d’une opération de défiscalisation est lié à la qualité de l’investissement immobilier.
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Les atouts des DOM pour un investissement locatif
Grâce à la LODEOM (Loi d’Orientation et de Développement Economique de l’Outre-Mer) qui a été mise en place le 27 mai 2009 , il vous est possible de choisir entre deux lois de défiscalisation immobilière : la loi Pinel Outre-mer et la loi Girardin.
Considérées comme une destination de rêve, les Antilles attirent de nombreux touristes grâce à leur climat tropical et à leurs paysages de cartes postales. Mais les Antilles françaises sont également une destination idéale pour un investissement locatif.
L’acquisition d’immobilier outre-mer est une solution d’investissement séduisante aussi bien pour les ultramarins que pour les investisseurs métropolitains. Que l’objectif soit de se constituer un patrimoine, de réaliser des économies d’impôt, de se créer des revenus complémentaires ou de bénéficier à terme d’une résidence secondaire ou principale, investir dans l’immobilier Outre-Mer ne manque pas d’atouts.
En effet, un investissement locatif dans les DOM offre des opportunités d’investissement intéressantes ainsi qu’une rentabilité accrue par une fiscalité plus avantageuse qu’un investissement en Métropole grâce aux dispositifs Girardin et Pinel Outre-mer. De plus, le marché immobilier manque de logements de qualité et la demande en logements locatifs est largement supérieure à l’offre. Pour ces raisons les Antilles françaises sont une destination à privilégier pour les investisseurs.
La Martinique est l’un des deux départements d’Outre-Mer (D.O.M.) des Antilles Françaises et fait, à ce titre, partie de l’Union européenne.
Source : http://www.outre-mer.gouv.fr/
La Martinique
Statut : Département d’outre-mer (D.O.M)
- Superficie : 1.128 km²
- Capitale administrative et économique : Fort-de-France
- Aéroport international : Fort-de-France
- Population : 390 000 habitants en 2012
- Secteurs d’activité : agriculture, secteur tertiaire et tourisme
- Climat : tropical tempéré
- Principales agglomérations : Fort-de-France (94 049 hab. soit 25 % de la population), le Lamentin (35 460), le Robert (21 240).
La Martinique fait partie des «îles Sous-le-Vent», dans l’arc des Petites Antilles, entre la Dominique au nord et Sainte-Lucie au sud. L’île est baignée à l’ouest par la mer des Caraïbes et à l’est par l’océan Atlantique.
Si l’île n’est pas grande, elle abrite une grande diversité de paysages sous un climat privilégié : Ensoleillement garanti la majeure partie de l’année et 27 °C de moyenne, des pointes à 32 °C et (très) rarement moins de 20 °C.
On peut découper l’île en trois régions :
– Le Nord, montagneux (Pitons du Carbet et Montagne Pelée, point culminant de l’île à 1 397 m) qui, avec sa végétation tropicale et son parc régional propose de belles randonnées
– Le centre, avec la plaine du Lamentin, les deux grandes villes de Fort-de-France (chef-lieu) et Le Lamentin (aéroport). Il concentre plus d’un tiers de la population.
– Le Sud avec ses baies et ses anses qui compte les stations balnéaires les plus fréquentées de l’île.
La population Martiniquaise reste jeune par rapport aux standards métropolitains, grâce à une forte croissance démographique. La densité de la Martinique est environ trois fois plus importante que celle de la France métropolitaine. Elle est beaucoup plus faible au nord, les pôles démographiques étant regroupés au centre de l’île.
L’économie martiniquaise a toutes les caractéristiques d’une économie moderne. Si elle a longtemps été liée à l’agriculture (banane, canne à sucre,…), le secteur, bien qu’employant encore beaucoup de main d’œuvre, ne possède qu’une part relativement faible dans le PIB (4 %). Le secteur des services, qui représente un taux record de 82,2 % du PIB et emploie plus de 80 % de la main-d’œuvre, prédomine l’économie martiniquaise. Il se trouve particulièrement bien implanté dans la zone de Fort de France / Lamentin.
Au sein du secteur tertiaire, le tourisme occupe une place non négligeable et emploie directement 7% des salariés.
Assez récente et encore limitée, l’industrie est l’une des conséquences naturelles des mesures économiques prises dans les années 80, la plus connue étant la défiscalisation. La grande plaine du Lamentin au centre abrite la plus importante zone industrielle de l’île.
N’oublions pas la fonction publique qui emploie 37 846 personnes en Martinique soit 9,4 % de la population. Une catégorie sociale au fort pouvoir d’achat…